homecoming

Quel genre de commerce est-ce ?
Depuis quand est-il ouvert ?
Quel genre de clientèle peut-on y trouver ?
Avez vous des choses amusantes à dire dessus ?
Prévoyez vous des activités spécifiques pour Noël ?
Va-t-il y avoir une fermeture pendant les vacances ou au contraire, des ouvertures exceptionnelles ?

A JOUR

[...]

Il se mordilla légèrement la lèvre, manqua de grimacer. Il oubliait parfois et même souvent que le sang avait coulé sur sa peau la soirée précédente et que les stigmates palpitaient encore doucement. Un léger goût de sang dans la bouche, encore une fois. Goût de rouille. La rouille qui s'était emparée de son coeur à force de si peu l'utiliser. Il était une vieille machine aux rouages mal entretenus, et à qui il avait toujours manqué une pièce pour fonctionner correctement. Arthur avait ramené ce dernier engrenage. Et la machine s'était mise en marche. Certes elle grinçait sous le corps de l'effort si inopiné, mais elle marchait bel et bien. Il faudrait la réparer, l'entretenir, la retaper, mais la mécanique de son coeur avait démarré. Et ce moteur carburant à l'amour vrombissait dans sa cage thoracique et résonnait à ses tempes. Il agissait mécanique. Le train-train et le quotidien l'avaient grippés. Il était tant de remettre le tout en marche. Pour de bon. Pour Casey.

Bien des choses avaient changes dans la vie du beau et grand ténébreux Jared Zachary Lee…Il y avait eu des décès, des hauts et des bas, mais surtout du changement, du vrai! Comme quoi me direz-vous? Un interna peut-être? Non pas comme un interne en chirurgie – non pas l’idée qu’il n’aurait pas apprécié cependant – mais bien un interna en psychiatrie…comme patient. Mais maintenant tout ça était derrière lui…enfin pratiquement, étant donné les nombreuses factures que cela avait occasionnées depuis sa sortie. Trois mois, cela suffisait à ruiner un type comme lui, qui passait sa vie à réparer des motos et à changer des alternateurs de petites voitures. C’était un fait, Jared n’était pas riche, mais il savait que sa vraie famille détenait quelques millions en banque, du moins c’est ce qu’il avait entendu dire et il souhaitait plus que tout en avoir le cœur net. Voilà ce qui le menait à Detroit, ça bien sûr et sa jeune mariée qu’il suivrait jusqu’au bout du monde.
Hum… Lys t’as vue mon stock de mécanique? Hurla-t-il du bout de l’escalier, regardant d’un œil avide les nombreuses boites qui trainaient encore sur leur plancher. J’en ai besoin pour demain et si j’le trouve pas j’vais être dans la merde! Siffla-t-il entre ses dents avant de froncer les sourcils, regardant dans un sac qui trainait ouvert, au bas de la première marche. Cela ne faisait que quelques jours qu’ils étaient arrivés et déjà ils avaient trouvés du boulot, franchement il ne fallait pas tout gâcher en oubliant d’apporter le matériel, cela les feraient passés pour de vrais tarrés, surtout Red qui n’était déjà pas très bavard d’avance… Évidemment il était humain, il ressentait des sentiments, comme tout le monde, seulement il n’était pas du genre à les étaler de son plein gré.

Le sourire, douce expression qui peinait à s’incruster sur le minois de Rebecca. Son visage témoignait de la souffrance à laquelle elle avait été confrontée auparavant, comme tatouer au fer rouge. Une trace figée au plus profond de son épiderme dont le temps n’arrangeait guère les choses. Le temps semblait s’être arrêté, à une période saumâtre pour Becca, dont le plus rayonnant des soleils peinait lui-même à pénétrer dans son existence. Trystan menait de pieds fermes une réforme, celle du sourire. Comme un clown que l’on invite à un anniversaire, le jeune homme tentait tant bien que mal, enfin avec beaucoup plus de mal, à raviver le sourire larmoyant de la belle blonde, qui, peu à peu, sous le charme de ce dernier, laissait tomber le masque, qui se fissurait pour laisser entrevoir le tempérament de Rebecca, autrement dit : souriante et rigolote. L’avenir qui autrefois lui paraissait monotone sans la compagnie de son mari, l’à conviait vers d’autre horizon, une nouvelle aire où la pluie sera agréable à regarder, où les embûches seront existentielles. Sans crainte, ou presque, la jeune femme se languissait de connaitre ce secret, attendre le moment venu pour le savourer comme une bouteille de Chardonnay que l’on garde précieusement pour une éventuelle grande occasion. Oui, il était grand temps de savourer chaque moment comme si celui-ci était finalement le dernier. « Hum la patience deviendra sans doute ma plus belle des vertus. Attendre toujours attendre, cela dit plus c’est long, plus c’est bon, n’est-ce pas ? Mais ça ne m’empêchera pas de te tirer les vers du nez … ». Cette dernière ne lâchera en aucun cas le morceau, face à un secret elle retombait dans l’enfance. Le moment où noël approche et, que l’on fouille la maisonnée pour trouver les cadeaux, car l’attente devenait pénible, et la soif de rassasier sa curiosité était belle est bien présente
L’avenir était au milieu des conversations entre les deux jeunes gens. Se concerter pour émettre des idées de projets, voir de nouveau le futur dans les yeux de la personne que l’on aime. Et si Rebecca tenait vraiment à Trystan ? Les pages de son passés c’étaient probablement effacées sous le bonheur que lui procurait ce dernier. Et si la jeune femme avait retrouvée ce qu’elle avait perdu dans son divorce ? Les bras du jeune homme lui semblaient être sécurisant, comme une maison équipée de caméras de surveillance, où on n’avait pas peur d’y vivre. Il lui apportait beaucoup plus que de l’amour, mais de la stabilité et non une relation tumultueuse où les disputes rythmaient un certain quotidien. Elle appréciait sa compagnie, nulle sortie n’était comparable un instant aux minutes écoulées dans ses robustes bras. Peu importe ce qu’il proposait, le principal était de le vivre à ses côtés. Becca retrouvait un semblant de couple, en effet, elle avait perdu la signification d’une union lors de sa précédente relation. « L’avenir, parle-moi en, fait moi rêver ! Alors Monsieur, il faudrait que vous appreniez à prendre les choses en mains … Alors, entre un jeu où ta fidèle fierté prendrait sans nul doute un coup et entre un film où je pourrais me blottir un instant aux creux de tes bras, hum on va dire un bon film ?! »

https://www.youtube.com/watch?v=WpmILPAcRQo

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Sinon, je te dis merci d'avoir toujours été là pour moi. Je t'aime.

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Apparemment, la jeune Lawford avait conquis la doyenne. L'émotion de cette dernière était palpable. Comme quoi, malgré une folie interne, la rousse savait se mêler à la populace. Rebecca appréciait réellement cette dame, il s'agissait de la vérité qui accompagnait ses traits de visagéité et ses paroles. Elle ne perdrait pas de vue Miranda. VanderApple avait certainement beaucoup à lui apprendre. Elle détenait l'âge et l'expérience pour elle. Becky pouvait lui apporter une fraîcheur et une nouvelle estime de soi. La femme âgée avait confié que les jeunes ne s'intéressaient pas à elle, qu'il préférait rabaisser les individus de son âge. Son interlocutrice lui prouva que toue la jeunesse ne se qualifiait pas par une stupidité sans nom. Elle essayait de lui démontrer également qu'elle détenait tout pour plaire. Miranda était un vrai cadeau de la nature, une femme super intéressante et pleine de vie malgré tout. La doyenne permit à la la rouquine de la tutoyer. Cette dernière ne se serait jamais permis tant de familiarité si la dame ne l'avait pas accepté.

- Merci très chère. Cette remarque s'accompagna d'un sourire élaboré. C'est gentil, tant de compliments, je vais rougir, vous êtes très agréable, je vous remercie. VanderApple précisa que désormais Becky faisait partie de son cercle d'amis en quelque sorte. L'archiviste en fut plus que touchée. Oh c'est adorable, de même vous savez, n'hésitez pas à venir à la maison, c'est un peu chez vous car vous avez connu ce quartier depuis toujours. J'ai hâte de rencontrer votre famille. Si elle est à votre image, je sens que je vais l'adorer ! Nouveau sourire sincère. Les deux voisines partageaient aisément. Les bonnes attentions étaient au rendez-vous. Il fallait reprendre le travail malheureusement, quoique, elles appréciaient toutes les deux le jardinage. Miranda paraissait affaiblie par la chaleur. Rester à l'ombre, et buvez de l'eau. Vous en avez beaucoup fait aujourd'hui. La suite la fit sourire encore une fois. Oui oui je souhaite tout modifier, si vous voulez on purra s'y mettre ensemble ? Si vous avez le temps et si cela vous plaît bien évidemment. Becca se remit au travail.

Son secret pour garder les pieds sur terre et ne pas prendre la grosse tête ? "J'ai quatre frères qui sont plus grands, qui ont plus de poils et qui ont plus d'expérience que moi !"

« Canard mon chou, tu sais comme tous les trucs que tu t'envoyais fût une période de ta vie ! Enfin peut-être que c'est toujours le cas, mais vu que tu m'as évincé comme une vieille chaussette puante... » Toujours ce sourire sadique, celui qui dissimulait en fait une profonde meurtrissure. Si elle avait su, elle l'aurait laissé à son triste sort au Mexique. Bien sûr, elle ne s'était pas attendue à ce qu'il la remercie, loin de là, juste qu'il n'oublie pas de si tôt qu'elle était venu le chercher pour l'aider. Comme quoi, parfois l'on pense bien faire, mais l'on ferait mieux de s'abstenir d'entreprendre toute bonne action. Voilà qui lui apprendrait à vouloir faire dans le social avec les membres de cette stupide famille.

A REPONDRE

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comment as tu connu le forum ? • Grâce au forum Afterlif sur lequel je me suis inscrits aujourd'hui xD
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