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Miranda VanderApple trouvait le comportement de cette jeune enfant très déplacée surtout pour une fillette de 12 ans. Elle n’arrivait pas à garder son bon sens lorsqu’elle était en face d’elle. La dame âgée avait toujours désespérément souhaité du respect de la part des jeunes – particulièrement des membres de son voisinage – elle connaissait tous les parents, donc en cas de problème, elle pouvait totalement aller prévenir ceux-ci du mauvais comportement de leur enfant. Il était rare qu’on ne prenne Miranda au sérieux. Cette dame avait beaucoup de vécue et elle savait être très persuasive auprès des autres. « Je trouve votre manière de parler et d’agir très inconscient ma petite ! Vous n’avez que 12 ans et osez parler à des adultes de cette manière. Je suis certaine que votre mère n’accepterait pas d’apprendre que vous m’avez parlé de cette façon, attendez que j’aille lui toucher un mot ! » Dit-elle sévèrement. Miranda posa une main sur sa hanche. La seconde question sur son âge de la jeunette était très déplacée. Miranda se sentait très insultée par la question, mais elle y répondit malgré tout sur un ton sec et rapide. « Non, j’ai 54 ans ma chère enfant ! Alors, arrêtez d’agir comme une catin ! » Dit-elle sévèrement. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle. Il n’y avait aucune voisine pour être témoin de cette scène, mais VanderApple ne laisserait pas son comité de commérage sans rien. Elle parlerait de cette fille ingrate et sa mère insouciante.

entrepreneur de Pompes Funèbres

Rebecca Lawford gardait le sourire. Son interlocuteur semblait réceptif à ses bonnes attentions. A coup-sûr, elle passait pour une femme clichée des banlieue chic. Or, elle préférait cela que révéler sa folie au grand jour. La jeune femme apprit l’identité de cet inconnu: Joseph Morrison. Enchantée! J’espère que vous vous sentirez bien ici. Ils en revinrent aux femmes qui se situaient devant la belle propriété de Joseph. Ils allèrent les saluer et voir ce qui se tramait. Bonjour. Elle laissa Joseph converser avec ses voisines. La rousse regardait la scène en spectatrice. La brune, plus âgée

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Frances (c'est même pas étonnant que ce soit ce nom qui apparaisse xD)

Emma => sont trop bien tes vavas!

fra.****@hotmail.com

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Kacey était conviée à une conférence en cette soirée. Elle avait accepté net. Ça ne la dérangeait pas du tout, loin de là. C’était très plaisant d’être invitée comme elle l’était. C’était une valeur sur de l’art. Elle ne parlait pas sans connaître un sujet sur le bout des doigts. Ce soir, elle allait pouvoir observer et du lendemain pondre un bel article représentatif de tout cela. La jolie se prépara fière: elle arbora un style mi classe mi décontracté pour faire la différence. La jeune femme n’était pas une excentrique, du tout. Elle préférait la semi discrétion. Puis son copain n’accepte jamais de la laisser partir en mode trop sexy. Il détestait cela et devenait bien trop vite jaloux.. L’homme était capable de se mettre dans une colère noire et monstre. Pour cause, il battait la journaliste, bien trop faible pour se débattre … La situation était moche mais ça faisait un moment qu’elle s’était installée. Kacey avait juste peur de la suite car elle commençait à avoir du mal à subir tous ces coups incessants. Son corps n’était pas aussi puissant. Elle n’était pas faite de métal.
Pourquoi était-elle conviée ? La belle s’occupait de la partie art. Elle était journaliste critique dans le domaine. La rousse adorait l’art en général. Depuis toute petite, elle s’intéressait à cette matière: elle dessinait, dansait beaucoup, se renseignait etc … La femme était une érudit et ses parents en était impressionnés. Ils aimaient qu’elle leur raconte son savoir et parfois, ils passaient des soirées entières à écouter la petite rousse parler de sa plus grande passion. La femme avait grandit dans un bon cadre. Elle avait ses valeurs sures.
Après un moment à fouiner à cette conférence Kacey décida de se prendre une petite boisson. Un homme était là, l’air las de tout ce remue-ménage.

- Alala qu’elle conférence … Je suis déçue et vous ? Vous m’avez pas l’air emballé.

Cela ne veut strictement rien dire, avança-telle gênée, je n’aime pas forcément la cuisine mais je le fais car j’ai du temps à tuer, un invité, et un bébé à qui penser. La jeune femme lui montra rapidement le plat qu’elle avait préparé. Autrement, elle n’espérait pas que sa cousine la pense trop différente car cela lui faisait peur: les avancées, les changements, comme quoi elle n’était pas totalement changé. Jersey démontra son intérêt pour la rousse. Elle était adorable, compréhensive. Johnson appréciait voir son interlocutrice plus responsable. Elle ne s’en cachait pas. Cela servit à rendre Casey plus rassurée et tranquille. Elle était bien touchée par les compliments venant de la brunette, sa conseillère du moment. Justement, la belle pensait que les modifications dans la vie d’Hamilton, eurent lieu grâce à elle. La maman n’avait pas tord. Ouais un peu. J’ai pris conscience de beaucoup de choses avec toi. Par timidité, elle ne les cita pas. Ensuite, la brune apprit le fait que Casey savait désormais lire, elle avait rattrapé son retard le plus possible. Entendre le terme « fierté » dans le discours de sa cousine, rendirent l’ex-dealeuse très reconnaissante. Merci Jers…! J’ai suivi un cours pour apprendre. Ce n’était pas facile… . Mais ça y’est, je peux presque tout lire comme tout le monde. Ma mère serait fière je pense. J’ai été rendre visite à sa tombe, j’avais jamais été. J’lui ai parlé et je lui ai dit tout de que j’avais sur le cœur, je lui ai même dédicacé mes avancées. Elle sourit. Oui je me sens bien. La suite la rassura car Jersey lui confirma qu’elle ne possédait aucune peur face à « la nouvelle Casey ». Au contraire, elle semblait l’apprécier d’autant plus ainsi. Merci cousine! Tu étais comment toi quand tu étais enceinte? Tu as autant changé? Tu as eu du soutien? Tu vivais quoi en même temps? Je veux tout savoir. Elle marqua une légère pause. Ça va ton café? Pas trop froid? Après, elle parlèrent des vêtements apporté par la mère de Aaron. Merci vraiment… . Je me répète mais tu n’étais pas obligée, je suis contente. Merci… . S’ils me servent pas, je te les rends? En aucun cas, la rouquine ne désirait parler du cas de son futur enfant et des démarches en cours pour le faire adopter. Jers précisa qu’elle pouvait les donner à la famille d’accueil si cette option était choisie. Je vais les garder. Silence. Puis, la discussion devint plus virulente. Je ne veux pas me battre également. Casey écouta la jeune femme tout en acquiesçant pour signifier que ses conseils étaient entendus et serviables. Merci pour ton avis Jers, merci d’être là. Elle n’ajouta pas d’huile sur le feu qui avait bien trop pris. La belle se calma petit à petit. Johnson se confia enfin. Le meilleur moment! Ok fais gaffe à toi. Ça ne va toujours pas mieux on dirait, c’est quoi le souci?

A REPONDRE

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http://tales-of-tree-hill.asdesas.net/

X est un groupe de punk rock américain formé en 1977 à Los Angeles

3: Je le faisais exprès pour voir si tu suivais.

Eva Paylor

Alors qu’il lui promettait de rester en vie, la simple idée qu’il ne tienne pas parole la terrifia. Malgré les années qui avaient passées, elle tenait toujours autant à lui, bien plus qu’elle ne le soupçonnait même et le perdre parce qu’elle n’avait pas eu le courage de lui faire fasse pour l’emmener à l’hôpital était insoutenable. « Je t'arrête tout de suite. Je vais pas te quitter de sitôt maintenant. Je vais rester là. Rien ne va se passer et tu n'as aucune raison de paniquer. Regarde, j'ai pas peur.. Toi non plus, Cal'. C'est rien, je t'assure que c'est rien! » dit-il plus convainquant que jamais. Son sourire lui avait manqué, et plus que jamais, elle avait envie de le croire. Croire que ce n’était rien. Croire qu’ils surmonteraient ça ensemble. Croire qu’il n’allait pas la quitter. Le regard plongé dans le sien, elle encrait ces paroles en elle. C’était une promesse, il tiendrait parole. Elle ne savait pas ce qui se passerait après cette nuit, mais elle s’en fichait éperdument maintenant qu’elle était certaine qu’il resterait là. Elle n’avait pas besoin de lui répondre, son regard trahissait ce qu’elle ressentait. Enfin rassurée, elle l’aidait ensuite à ôter ses vêtements. Il prit sur lui tant qu’il le pu, mais son cri eu, une fois de plus, raison du calme de Caleigh. Elle l’avait blessé. Elle s’excusait vivement tout en lui prenant la main et il la rassura une nouvelle fois d’un simple geste tendre de la main. Une main accrochée à la sienne, l’autre appuyée sur la plaie sur son front, elle ne le quittait du regard que pour faire un bref étendu des blessures sur son torse et son bras. Elle comprenait mieux à présent pourquoi il respirait ainsi. C’était tout bonnement horrible, comment avaient-ils pu lui faire subir cela ? « Eh, Cal', fais pas cette tête là. C'est rien de grave. Dans quelques semaines, je serais sur pied, sois en sûr. Pour le moment, ça doit pas être joli à voir, tout comme c'est pas joli pour ma respiration mais c'est qu'une question de temps. Un peu de glace et tout ira bien. » lui dit-il en réponse à la mine qu’elle affichait. Caressant sa main avec son pouce, elle acquiesçait une nouvelle fois. Il avait raison, encore. Et elle devait se raisonner, dans quelques semaines ce serait comme s’il ne s’était jamais rien passé. Déposant la main indemne de son blessé sur le linge sur son front afin de maintenir la pression sur sa blessure, elle ôta la sienne avant de balayer délicatement d’une main les larmes sur son visage en évitant ses blessures. Il avait une telle confiance que cela la réconfortait. L’espace d’un instant, elle le croyait, ce n’était rien. Cela passerait. Et sa peur s’effaçait. Il avait une telle facilité à la rassurer malgré son état que s’en était étonnant. Un léger sourire confiant sur le visage, elle se levait : « Je reviens, je vais chercher ce qu’il faut pour te soigner. » Elle commençait par laisser ses escarpins au bord de la table, il n’était plus le temps d’être élégante, elle devait l’aider, et vite, cela ne ferait que la ralentir. Se retournant vers lui un instant, elle ajoutait : « Ne t’endors pas, parle-moi, chante, compte jusqu’à 10 000 s’il le faut, mais reste avec moi d’accord ? ». Non, ce n’était pas le moment qu’il perde connaissance. Elle qui n’était déjà pas rassurée à l’idée de ne pas aller à l’hôpital et de devoir par conséquent, pour la première fois de sa vie, soigner quelqu’un dans son état, était encore plus paniquée à l’idée qu’il s’endorme. Ce n’était pas le moment, pas après les coups qu’il avait reçus, il devait rester conscient.

Au pas de course, elle se ruait vers salle de bain et son premier reflex, bien qu’idiot fut de jeter un coup d’œil dans le miroir, en voyant sa robe tâchée de sang, elle réagit instinctivement en attrapant sa trousse de premiers soins. Si elle n’avait avant qu’une simple boite de pansements et un désinfectant, depuis son retour en ville, lorsqu’Allyson avait constaté son manque cruel de moyen, elle n’avait pas réussi à s’empêcher de lui faire investir dans un véritable kit de survie ; déformation professionnelle probablement. Le médecin prenait soin de sa meilleure amie, et si tout ça lui avait paru jusqu’à aujourd’hui totalement inutile, elle prenait finalement pleinement conscience de son utilité. Quelques serviettes propres à la main, elle se ruait ensuite vers sa pharmacie et en sortait deux flacons encore non ouverts. Elle ne pu s’empêcher de rester un court instant immobile en tenant ses boites. Elles lui avaient étés prescrites après son viol afin de l’aider à se remettre de ses blessures, mais jamais elle n’en avait pris. Elle se disait que ces pilules lui enlèveraient la douleur, et puisque c’était la seule chose qu’elle pouvait encore ressentir, elle ne voulait pas l’ôter. C’était la seule chose qui lui assurait qu’elle était encore en vie, que tout cela était réel, alors elle avait souffert jusqu’au bout, sans un médicament, simplement pour se souvenir. Secouant vivement la tête, elle reprit sa course effrénée, humidifiait une des serviettes et terminait de rassembler ce qui lui semblait nécessaire. Déposant le tout sur la table à manger, elle se rendait ensuite à la cuisine où elle prit un verre d’eau et un sachet de légumes dans son congélateur. Cela ne lui avait finalement pas pris grand temps avant qu’elle ne dépose le tout sur la table basse auprès de son blessé. Et à peine eut-elle le temps de se débarrasser de tout cela, que son regard était déjà tourné vers Cooper. Histoire de les faire décompresser un peu avant de le soigner réellement, elle lançait avec un léger sourire espiègle tout en s'agenouillant auprès de lui : « Tu me devras une robe quand tout cela sera fini ». Elle se voyait mal devoir expliquer tout ce sang au pressing, elle préférait encore la jeter que de se risquer à donner des explications bancales. Dans le fond, elle n’en avait rien à faire de sa robe, seul Cooper lui importait pour le moment, mais c’était l’occasion de détendre l’atmosphère, d’imaginer que tout cela sera terminé un jour.

Lorsqu’elle vit tout son arsenal sur la table basse, elle hésitait un instant, ne sachant ce qu’elle devait faire en premier. Nettoyer ses blessures ? S’occuper de son bras ? De ses côtes ? Ce n’est qu’en entendant sa respiration qu’elle optait pour commencer par lui faire prendre des antidouleurs. Ouvrant l’opercule d’une des boites, elle sentit un frisson parcourir son dos. Ce n’était pas le moment de repenser à ça, secouant légèrement la tête, elle ouvrait alors le second flacon. L’espace d’un instant, elle se demandait combien elle devait lui en donner, et après un bref coup d’œil à ses blessures, elle jugeait qu’il souffrait trop pour ne lui en donner qu’une. Double dose d’analgésiques et d’anti-inflammatoires en main, elle attrapait le verre d’eau sur la table et dit : « Prends ça ». L’aidant comme elle le pouvait, il prit ce qu’elle lui donnait sans même savoir de quoi il s’agissait avant qu’elle ne dépose le vert sur la table. Encore une preuve de sa confiance car elle aurait très bien pu lui faire avaler n’importe quoi. Elle n’avait aucune idée du temps que c’était censé prendre avant que les premiers effets ne se fasse sentir, mais elle priait pour que ce soit rapide. En attendant, comme il le lui avait suggéré, elle entourait le sac de légumes congelés dans un linge avant de soulever doucement son bras blessé. Le déposant entre les deux, la glace agirait ainsi aussi bien sur ses côtes que sur son bras.

877.00 CHF

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C'est toujours aussi cher -.-

She smiled more than one time

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