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A REPONDRE

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Rien ne pouvait plus mal aller pour la belle Lili…au court de la nuit, sa fenêtre avait été ensevelit de glace, créant un froid glaciale dans sa chambre à coucher alors qu’elle avait complètement oubliée de rallumer le chauffage en arrivant de travailler. Résultat : Un réveil brutal garanti. Pour se réchauffer un peu, la rouquine avait accourut au salon, où elle trouva un bas de pyjama à carreaux qu’elle enfila avant de rebrousser chemin vers la cuisine pour se faire couler un délicieux et surtout très chaud café au lait. Persuadée qu’elle avait encore du lait dans son réfrigérateur, elle mit la bouilloire en marche puis retourna dans sa chambre à coucher pour monter le thermostat tout en fouillant au sol pour trouver une veste potable à se mettre sur le dos. Évidemment le trois quart de ses vêtements étaient dû pour être lavés, mais tout de même, Leighton trouva quelques morceaux de linge qu’elle pourrait enfiler dans la journée. Lorsque le claquement de la bouilloire se déclencha enfin, la rouquine lâcha les morceaux de tissus qu’elle tenait puis couru jusqu’à la cuisine pour se servir une bonne cuillère de café dans une tasse bien plus grosse que la moyenne – addiction qu’elle tenait très certainement de sa très belle maman, Leslee -. Tout en sifflant, elle ouvrit enfin la porte de son réfrigérateur pour y chercher du lait du regard…évidemment elle ne le trouva pas, jurant qu’elle était certaine d’en avoir acheté deux jours auparavant. Elle dut donc se contenter de boire son café noire, ce qu’elle détestait.
Lili regarda ensuite la pendule ronde qui indiquait bientôt dix heure et quart, heure à laquelle elle quittait habituellement pour le boulot. La rouquine soupira donc, retirant son bas de pyjama qu’elle laissa trainer dans le couloir, pour ensuite mettre les vêtements propres qu’elle avait trouvé un peu plus tôt. Une fois habillée, Leigh passa un coup de brosse dans ses cheveux puis attrapa une gomme qui trainait dans son sac à main qu’elle accrocha à son avant-bras avant de quitter son appartement. Une fois la serrure bien enclenchée, la rouquine traversa la piscine puis le secteur des boites aux lettres avant de retrouver son véhicule qu’elle actionna d’un geste habille. Tout avait mal commencé ce matin, mais cela semblait rentrer dans l’ordre, elle était à peine à cinq minutes du boulot et son véhicule fonctionnait toujours…malheureusement pour elle, le panneau arrêt avait été de trop. Incapable de redémarrer son véhicule, la belle rouquine sortie puis ouvrit le capot, qui lui fumait comme une cheminé le soir de tempête de neige. Ah non…c’est pas vrai… Dit-elle alors que quelqu’un s’arrêta tout près d’elle. Manquais plus que ça…vraiment j’aurai dû resté au lit ce matin! Cette idée se renforça lorsqu’elle comprit que la voiture qui venait de se garer aura la sienne était celle de Cailee…dernière personne qu’elle souhaitait voir débarquer. Bonjour délicieuse Leighton…Tu n’serais pas dans le trouble par hasard blablabla! Grogna la belle tout en baissant les yeux au sol alors qu’elle s’approchait davantage. J’avais remarqué oui… on a pas tous de l’argent à jeter par les fenêtres comme certains ! Évidemment la remarque lui était spécialement destinée, sachant très bien que depuis son plus jeune enfance, elle n’avait jamais manqué de quoi que ce soit… t’es venue te moquer de moi? Ne te donne pas cette peine, j’vais me rendre au Cup à pied et faire venir une dépanneuse… Dit-elle tout en refermant le capot de sa voiture complètement ruinée.

Ginger a toujours été quelqu'un d'unique, qui aimait voir le bon de la vie, même si elle n'était jamais complètement rose. Elle aimait les petits moments féeriques que l'on ne planifie pas, mais qui vous tombe dessus: une soirée tranquille au bord d'un lac, trouver un billet de 5$ dans la rue et le donner à une petite fille pour qu'elle s'achète une peluche, retomber dans les vieux albums photos et s'y perdre. Ginger n'a jamais eu besoin de beaucoup pour être heureuse, tout ce qu'elle a toujours voulu, c'est qu'on l'accepte. Elle est assez réservée en apparence, mais lorsque vous lui donnez une chance, elle devient une pie et peut vous parler de tout et de rien. Dans ses goûts, elle est très originale et c'est ce qui fait d'elle un être à part. Toutefois, toute sa joie de vivre a été ternie par le meurtre de son frère, lors d'un cambriolage dans une banque. Elle qui croyait en la bonté de l'univers a reçu une belle gifle en plein visage. Elle n'a jamais été très bonne avec les émotions fortes et ne sait pas comme gérer celle-ci, celle du deuil. Comme l'amour, en fait. Elle n'a jamais eu de relation stable, ayant toujours saboté ses chances de tomber amoureuse, ne sachant pas comme réagir avec un lot aussi fort d'émotions...

L'amour plus fort que tout, l'amour qui triomphe toujours. Ce sentiment puissant capable de ramener à la vie n'importe quel corps mort, qui donne des ailes et confère la force d'anéantir toutes les barrières rencontrées sur le long chemin de la vie. Celui-là même, qui lui faisait accepter la situation sans broncher, agissant au mieux pour que sa petite amie se sente bien malgré l'état – physique et moral - dans lequel elle se trouvait. L'amour encore et toujours qui avait balayé en une fraction de seconde – emportant cet asile avec une facilité déconcertante, fabriqué à la va vite, à l'aide des corps de ses victimes, censé la protéger de cette pluie torrentielle d'hémoglobine – les agissements passés de Joan. Une preuve qu'aucun secret n'est assez dangereux pour être livré. Une preuve que l'amour peut tout réparer, songea-t-il avec douceur. Un signe qu'il faut juste accepter les chaînes nous entravant. Et au lieu de s'arracher la peau contre elles en essayant de fuir, attendre que le temps nous amaigrisse, nous affaiblisse. Et qu'un jour les chaînes ne nous aillent plus et que, tout naturellement, elles glissent et nous libèrent... enfin ! Contrairement à ce qu'il cherchait à faire au sujet de son grand amour, le sentiment qu'il éprouvait à son égard lui ne cherchait pas être compris, seulement ressenti et partagé. En silence tout d'abord, il opina du chef, écoutant toujours attentivement les paroles que débitait à un rythme effréné Joan. Ces dernières ne le blessèrent pas, bien au contraire, mais il se sentit tout aussi impuissant que la jeune femme. Les mots lui manquèrent cruellement. Comment rassurer quelqu'un en ne sachant pas vraiment soi-même ce que l'autre endure ? Faire de son mieux, d'accord, mais de quoi était fait le mieux en cet instant ? Comment faire partir ces cumulus s'amassant au dessus de la tête de la brunette ? Souffler dessus, ou bien attendre qu'une énorme tempête les emmènent au loin - souvenir alors vague, les suivre du regard durant un instant, puis passer à autre chose – comme le temps qui emporte tout, même les cris de rage, ne plus rien voir alors que des mirages ; se dire que cela passera, que cette image montée de toute part par son propre esprit disparaîtra bientôt, irradiée par les profondeurs de son moi intérieur. « Tu racontes n'importe quoi, ton cerveau se porte parfaitement bien ! Faire de mon mieux, je ne trouve pas que ce soit suffisant, je voudrais faire tellement plus. Je voudrais être capable de te sortir de ta prison, de pouvoir te rendre en un claquement de doigt ton autonomie, mais surtout te permettre d'oublier tout ça, faire en sorte que ce voyage en enfer ne soit plus qu'un souvenir lointain ! » Le chemin de la rédemption et de l'oubli serait encore long, très long, mais à deux, main dans la main ils y parviendrait. Image réconfortante que de les voir s'avancer d'un pas assuré, dans le clair obscur du présent, attendant qu'un jour nouveau se lève, un nouvel hiver avec ses flocons tombant doucement au sol, trois claques pour une revanche, un renouveau, le salut ultime. L'abandon à jamais des fautes passées, se laver de tous péchés, ouvrir les bras en direction de ce nouveau destin. Nouveau destin qui portait un nom, gravé dans sa chair à l'encre indélébile – mais pourtant invisible – à jamais.

Après son retour et après s'être occupé d'évacuer de la pièce l'objet de la discorde, Ethan avait bien vite retrouvé sa place auprès de Joan. Place qu'il n'avait plus envie de quitter et à laquelle il se sentait bien, comme lorsque l'on rentre chez soi après un long périple, que l'on regarde autour de soi en lâchant un soupir d'aise. La douceur du foyer ; là où il aurait dû être depuis bien longtemps, l'endroit qu'il ne quitterait pas, sauf si Joan le lui demandait. Un frisson de plaisir lui parcouru le bras, sous l'effet de la caresse de Joan. Elle s'excusa pour son comportement, comment pouvait-il lui en vouloir ? D'accord elle n'avait pas été très tendre, mais qui pouvait l'en blâmer au final ? Se retrouver coincée entre ces quatre murs, pas franchement l'éclate la plus totale. Un sourire se dessina au coin des lèvres d'Ethan, touché par les paroles de sa petite amie. Des excuses, un changement notoire dans le comportement de la jeune femme. Passer l'éponge, effacer ce léger incident du revers de la manche pour se concentrer sur autre chose, comme l'instant présent par exemple. « Je comprend en un sens, que tu sois révoltée, il y a sûrement plus drôle que d'être bloquée ici. Si ça te fais du bien de te défouler sur moi, fais toi plaisir... », ajouta-t-il avec un large sourire avant de lui voler un baiser avec toute la tendresse dont il était capable. « … trêve de plaisanteries, je ne vais pas partir, je ne vais pas t'abandonner si c'est ce qui te fais peur, même si tu venais à te comporter comme la pire des garces, je prendrais sur moi le temps qu'il faudra, le temps que tu ailles mieux ! Je sais que c'est la colère qui parle pour toi, mais j'apprécie quand même tes excuses et l'effort que ça t'as demandé ! » Un nouveau geste tendre pour accompagner ses paroles, un geste de plus, tandis qu'il la dévorait du regard et lui caressait les cheveux en silence. Ethan espérait qu'une légère dispute de ce genre ne se reproduirait pas de si tôt, mais surtout que Joan prendrait son mal en patience, même si cette partie là n'était pas gagnée d'avance, voire pas du tout. Dompter un tigre s'avérerait certainement un exercice d'une facilité déconcertante à côté de ce qui devait les attendre.

Cherchait-elle à se racheter de tous les mauvais coups qu’elle avait bien pu lui faire? Probablement, Leighton ne connaissait pas tellement de personnes prêtes à débarquer de leur voiture en pleine hiver pour venir donner un coup de main à une pauvre rouquine dans le pétrin…sauf si évidemment cet même personne attend quelque chose en retour. Lili soupira faiblement, pourquoi ne pas se laisser aider pour une fois? Après tout elle était déjà en retard au boulot, heureusement qu’Angie était de garde ce matin et qu’elle ne devait pas terminer son service avant encore deux heures… Leigh replaça une mèche rouge derrière son oreille, haussant les sourcils lorsque la brunette lui proposa finalement de faire un saut chez le concessionnaire pour lui acheter une voiture et pas n’importe laquelle, le modèle de l’année. Complètement retournée, Lili ouvrit grand la bouche, Cai n’avait pas à lui acheter une voiture, encore moins une complètement neuve, ensuite elle lui remettrait ça sur le dos toute sa vie! T’es complètement folle oui! Dit-elle alors que la brunette attrapait son téléphone portable pour rejoindre son garagiste. Je n’veux pas de ta voiture… je prends le dépannage, mais jamais j’accepterai un cadeau comme ça, surtout venant de toi… Sa phrase se termina d’un ton aigre, quelque peu triste. Lili n’aimait pas abuser des autres, certes elle voulait un véhicule qui ne lui lâcherait pas à la moindre occasion, mais de là à se faire acheter un véhicule…il y avait des limites à ne pas franchir! Évidemment la brune ne semblait pas comprendre que la rouquine ne voulait pas de son abus d’argent et encore moins de ses services, ajoutant que les secours n’étaient qu’à cinq petites minutes de là et qu’ils arriveraient d’ici peu, elle ajouta ensuite qu’elles pouvaient aller patienter dans sa voiture étant donnée le froid prenant de ce début de journée. Non ça va aller… Répliqua Madison, baissant les yeux au sol, donnant un petit coup de pied sur le roue droite de son tas de ferraille. J’n’ai pas froid de toute façon… Comme elle aurait eu envie de lui dire de rester aussi…juste pour la voir attraper froid, détruire son parfait environnement… ça aurait été le pied oui.

http://www.noblecollection.fr/the-hobbit-carte-terre-milieu-p-3690.html

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Les crayons de cire (eh oui j'ai du aller vérifier ce que c'était xD)

Après avoir frappé à la porte de cet endroit, assez rapidement une personne vint ouvrir. Ce fut avec surprise qu’elle découvrit la personne présente à cette soirée. L’atmosphère se teinta d’un soudain apaisement.

- Oh Miranda!

Elle accueillit la bise de la femme avec joie. De la même manière, elle montra sa sympathie et son contentement à la vue de son amie par une main posée sur l’épaule de cette dernière, geste qui voulait dire beaucoup. Elle l’aurait presque pris dans ses bras. VanderApple restait l’un de ses plus grandes amies dans son quartier, dans cette ville, dans sa vie. La rousse appréciait grandement la doyenne. Elle trainait souvent avec elle et les amies plutôt âgée de la dame aux cheveux blancs. Il s’agissait de ses moments préférés. Elles déblatéraient sur tout et rien, les commérages allaient souvent bon train. Aussi, les activités comme le jardinage, la lecture ou la cuisine ne les épargnaient pas. Toutes deux demeuraient des âmes créatives, motivées voire passionnées, énergiques. Elles partageaient leurs savoirs. Becca pouvait presque être elle avec Miranda. Bien sûr, elle cachait son vrai visage et ses travers. Mais, en présence de la femme, elle ne possédait pas le besoin d’être fausse lors de leurs activités communes. Lawford avait gagné en sociabilité. D’ailleurs, elle brillait par son sens de la communauté dans cette nouvelle vie. Il fallait dire qu’elle avait bien bâti chaque point de son quotidien légèrement tronqué. Elle trompait tout le monde, même sa propre personne.

- C’est avec une immense joie que j’ai accepté l’invitation de… du jeune homme. Elle ne le connaissait pas du tout. Fêter la fin d’année tous ensemble: c’est super, vous ne trouvez pas? Elle en restait au vouvoiement malgré tout. Je suis ravie de vous voir! Je sens qu’on va s’amuser. Vous savez où je peux poser ces paniers? La rouquine les souleva un peu plus pour les montrer. J’ai préparé quelques petites choses. Où est le propriétaire des lieux? Elle sourit. Becky était si contente d’être avec une amie. Elle répondit tardivement à la question de son interlocutrice. Tate n’a pas pu venir malheureusement.

nicole kidman

Sebastian Stan

ahahahah toi aussi tu as du aller vérifier?

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PERSONNAGE(S) :
JE RESTE [ ] JE PARS [ ]
RAISONS :
AUTRES :

Zachary Taylor

Pour les salariés mis à disposition qui remplissent les conditions mentionnées au 2° de l’article L. 1111-2 du Code du travail c’est-à-dire comptabilisés dans les effectifs de l’entreprise utilisatrice, la condition de présence dans l’entreprise utilisatrice est de 12 mois continus pour être électeur et de 24 mois continus pour être éligible. Les salariés mis à disposition qui remplissent ces conditions choisissent s’ils exercent leur droit de vote et de candidature dans l’entreprise qui les emploie ou l’entreprise utilisatrice. Sur cette question, on peut se reporter aux précisions fournies par la circulaire DGT n° 20 du 13 novembre 2008 citée en référence, et notamment à sa fiche n° 6.

GOSSIP GIRL 09
PRIVATE PRACTICE 06
PARENTHOOD 18
SKINS 39
CASTLE 28

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PRIVATE PRACTICE 05
PARENTHOOD 18
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Katherine Heigl

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