La situation était presque pesante. L’atmosphère de la chambre demeurait assez lourde, voire tristement sombre. Tout rappelait la dure réalité sous-jacente à la présence de tous dans cet hôtel : l’obligation, l’éloignement avec l’extérieur, le manque de liberté. La discussion entre les deux femmes tournait autour de ce sujet. La lettre trouvée sur la table de nuit d’Eileen faisait le lien. Galvin démontra son manque de confiance envers le personnel tout entier du Crescent Hotel. A ses dépends, elle venait s’apprendre qu’ils n’étaient pas tous à ranger dans le même tas. Hart en avait plus que marre de devoir se justifier… . Les gens la jugeait par son statut au sein de cette immense bâtisse au lieu de tenter de voir plus loin, sans essayer de comprendre qui était réellement l’individu cantonnée au rôle de la femme de chambre. L’occupante du 113 se prêtait au jeu. Sarah avait proposé de partir. Or, son interlocutrice devait plus curieuse, elle se mit à poser des questions à la jeune timide. Pourquoi ? Jouait-elle un jeu elle aussi ? Quand les doutes se propageaient ! La brunette restait tellement réservée qu’elle ne parlerait pas d’elle. Après tout, Eileen fut presque exécrable avec elle ! Hart se disait qu’elle ne lui devait rien. Puis, elle avait proposé son écoute pas de devenir sa confidente attitrée. Elles ne connaissaient pas assez. Galvin avait mal jugé l’employée au départ, celle-ci ne préférait pas lui donner raison, question de principes.

- Comme tout le monde j’ai passé la porte d’entrée de cet hôtel et cette dernière ne s’est plus jamais rouverte après. Son regard devint fuyant. Elle n’appréciait pas que la conversation se dirige vers le chemin tortueux de sa vie. Elle évita la deuxième interrogation d’Eileen. Elle n’allait pas lui avouer qu’elle bosser ici pour sauver sa mère de sa situation : endettement, et addiction meurtrière à la drogue. Sarah espérait apporter son soutien à sa génitrice qui l’avait délaissé… . Coincée, elle ne pouvait rien faire pour l’aider et ce détail la pesait chaque jour un peu plus. Comment se porter sa mère ? Sa situation avait-elle empiré ? Certainement ! Hart culpabilisait. Présentement, Galvin se confia davantage. La confiance naissait-elle entre ces deux êtres ? Assurément pas de suite, il faudrait du temps. Mais la cliente semblait se repentir pour son attitude, elle parlait de sa situation ouvertement et avec sincérité. Ça vous rend triste ? Vous avez de la chance de posséder un lien aussi fort avec une personne, dites-vous qu’un jour vous sortirez et vous le retrouverez, pensez à cette joie et évitez de tomber dans la nostalgie : sinon vous toucherez bien trop vitre le fond… . Voilà que Sarah se mettait à la conseiller.

BACHELOR 85
WEDDING 34
WIDOWER 10
SWEET HEART 30
BROKEN 05
COMPLEX 10

BACHELOR 90
WEDDING 34
WIDOWER 10
SWEET HEART 34
BROKEN 05
COMPLEX 10

DEXTER MORGAN 09
BREE VANDEKAMP 19
RUTH FISHER 21
LEXIE GREY 12
ZOE HART 08
CLARK KENT 09
VERONICA MARS 12
AMANDA WOODWARD 10

Victory: I took the bus earlier!

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Les deux jeunes femmes conversaient de sujets plutôt hard sans une once de honte : alcool, drogue, tromperies, fête aux nombreux excès, tout y passait. Les blondes signaient leur préférence : la débauche. Elles s’encourageaient mutuellement, une amitié et un soutien naissaient en même temps. Ce lien allait-il tenir longtemps, allait-il détenir dans l’importance dans le futur ? Cette relation possédait des allures de vive destruction. Charlie et Andy évoquaient des thèmes plutôt malsains. Andrea retrouvait l’espoir : en une notion, en une personne, en l’avenir. La belle n’allait pas très bien depuis les derniers événements de sa triste vie alors un peu de dépravation lui ferait certainement le plus grand bien.

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