En 2012, Jayden Wendall était un brillant médecin. Il était au stade de la résidence en chirurgie générale et on ne pouvait cacher à personne qu’il perçait très facilement dans le métier. Le brunet n’avait jamais eu réellement d’attache dans cette ville, bien qu’il adore Fairview, ayant toujours vécu là où il était. La magnifique demeure de Orchid Street, il l’habitait depuis toujours, la maison lui avait été donné lorsque ses parents quittèrent la ville pour un magnifique palace sur le bord de l’eau. L’homme en question n’avait jamais vécu hors de cette ville dans L’Eagle State, mais il y avait fait de belles rencontres comme la famille Savannah. Le brunet était amoureux lors de son adolescence de l’ainée – Autumn – c’était une relation très parfaite, sachant qu’ils continuaient leur vie durant l’été. Les femmes de cette famille ne venaient qu’à Azalea Valley pour la période des vacances chez la grand-mère d’Autumn qui venait tout juste de mourir. Il n’était pas du tout au courant de l’avenir de la maison, sachant que depuis le meurtre des Henderson, beaucoup de résidence était vacantes maintenant.

Aujourd’hui, Jayden Michael Wendall ne travaillait pas. Il avait passé la nuit avec une belle jeune femme qui avait trouvé la sortie bien rapidement dès le lever du soleil. Jay se contenta de lire le journal et de déjeuner tranquillement. Ayant travaillé toute la semaine intensivement, il n’avait pas vraiment remarqué le déménagement des nouveaux voisins. Il n’avait cependant pas vue Garrett Nolans déposer une affiche de vente ni de location à l’avant. Enfin, il sortit en peignoir dans la rue pour aller chercher son courrier dans la boîte aux lettres, il aurait bien pu vider la poubelle, mais sa femme de ménage était payée pour cela. C’est à ce moment qu’il vit une femme sortir de la maison, une nouvelle voisine ? Oh ! Il s’avança et s’approcha de son terrain, usant d’un grand sourire. « Hey voisine ! » Il n’avait pas remarqué qu’il s’agissait d’Autumn.

Déménager n’était pas ce que préférait la belle Autumn, simplement en se réveillant ce matin-là, elle avait vite compris qu’elle se plairait dans cette grande maison qui lui procurait de bons et moins bons souvenirs. Rien que d’entendre le chant des oiseaux à son lever avait sonné des cloches dans son font intérieur. À New York, c’était le vacarme des piétons et les klaxons qui la tenaient réveillée…chose qui l’avait toujours profondément énervée. La belle brune avait donc passée pratiquement toute la nuit à défaire des boîtes et à ranger des vêtements qu’elle finirait probablement par mettre au placard des oubliettes, tentant le tout pour le tout pour ne pas penser à son voisin d’enfance, Jayden. En fait, la belle ne savait pas même s’il vivait encore là. Elle avait perdu tout contact avec lui depuis maintenant trop longtemps, même les traits de son visage commençaient à s’estomper dans son esprit. Enfin, c’était mieux comme ça, le passé étant le passé.

Kaeya s’était donc endormi d’épuisement dans la chambre de sa grand-mère qui deviendrait la sienne, avant de se réveiller aux petites heures du matin par un rayon de soleil en pleine figure. La belle s’était donc levée doucement, s’étirant bien comme il faut avant de se lever et d’aller jeter un coup d’œil dans la fenêtre. Les oiseaux chantaient et quelques enfants se dirigeait à l’arrêt d’autobus, alors que leurs parents eux, allaient travailler. Bien contente d’être en congé, la brunette se bougea, descendit les escaliers par petits bonds puis ouvrit directement la porte de la grande maison. Simplement vêtu d’une camisole blanche et d’une paire de short rose à pois, la jeune femme sortie sur le perron, ramassant le journal qui venait de lui être livré avant de se relever alors qu’on la saluait. N’ayant pas tout de suite reconnu la voix de l’homme, Autumn sourit, prête à lui retourner le bonjour, simplement rien qu’à le voir cela la rendit pratiquement malade d’anxiété. merde… Elle colla directement le journal sur son visage, l’ouvrant aussi rapidement que l’éclair s’abattant sur un arbre. Bonjour voisin! Elle tentait de cacher son visage, elle ne voulait en aucun cas avoir à faire avec Jayden…elle aurait nettement préféré qu’il ait quitté la ville…et le pays, pourquoi pas.

Jayden Michael Wendall ne s’attendait pas à voir aussi rapidement une inconnue dans la maison des Savannah. À vrai dire, depuis toujours, la vieille dame qui y vivait habitait cette belle maison et Jay gardait de bons souvenirs là-bas. Il se souvenait des merveilleux étés avec la belle Autumn et la tristesse qu’il ressentait sans elle. Il ne fallait pas laisser de côté que Jay était un homme très spécial, ne prenant jamais une relation au sérieux, mais avec elle, c’était une toute autre histoire. Il l’avait réellement aimé malgré ses quelques failles et rêvait de la retrouver un jour. Depuis l’été de ses 18 ans, le départ précipité d’Autumn avait laissé un froid dans son cœur, sachant qu’elle ne reviendrait peut-être jamais. La vie avait passé depuis ce temps et Wendall était malheureusement confronté à une solitude occasionnelle, ce qui expliquait le nombre impressionnant de femme qui passait dans son lit. Enfin, ce matin, le riche chirurgien tenait à être sympathique avec la nouvelle fleur qui vivait à côté de chez lui. Ne l’ayant pas vraiment vu, il avait compris qu’elle devait être entre la vingtaine et la trentaine. Elle posa son journal rapidement devant elle, mais le salua quand même. Jayden arqua un sourcil et se mit à rire. Il sauta par-dessus la haie de cèdre et rejoignit le balcon de la femme. « Je suis Jayden Wendall, votre voisin ! Bienvenue dans le quartier, la vieille Savannah habitait là depuis que je suis né, j’espère que la maison n’est pas trop poussiéreuse, elle n’était pas au top de sa forme dans les dernières années de sa vie ! » Wendall espérait sincèrement qu’elle se montre le visage, pour voir si elle était vraiment canon ou pas.

La panique gagna la jeune Savannah qui tenait de plus belle le journal qui lui cachait le visage. Il venait tout juste de sauter la haie de cèdre pour venir directement sur son balcon, a à peine un mètre d’elle, comme ça, sans aucune gêne. Une irrésistible envie de le pousser par-dessus la rampe lui pris, simplement elle se contenta de soupirer alors qu’il lui racontait à qui appartenait la maison avant que la dame ne meurt dans un état lamentable. Certes la maison n’était pas au mieux de sa forme, simplement elle n’était pas au bord des ruines non plus, un bon coup de balais et puis une belle couche de peinture chaude et cela serait totalement réglé. Oh, non ça va… Dit-elle d’un faux sourire, toujours cachée sous le journal du jour. Elle n’avait sincèrement pas envie de lui montrer son identité, il serait tout aussi surpris qu’elle et finirait par lui poser des questions sur sa venue, ce qui ne l’enchantait guère, il faisait partie de son passé, non pas de son futur. Tout semblait bien aller jusqu’ici, l’homme ne cherchait pas à lui arracher le morceau de papier des mains, en tout cas pas pour l’instant, simplement une petite bourrasque de vent n’était pas prévu par la belle brune qui déchira le journal alors qu’elle tentait de le garder bien en place. Le vent ne lui avait pas retiré son seul allié, non c’était elle par peur d’être démasqué, qui s’était pris d’une grande force, dévoilant son doux visage rempli d’anxiété à son interlocuteur. Totalement gênée, elle montra son plus beau sourire. Salut…

Jayden Michael Wendall continuait à faire la conversation avec la belle voisine qui avait déménagé à côté de chez lui. Il n’arrivait toujours pas à voir son visage et cela l’intriguait beaucoup. Il ne comprenait pas pourquoi elle ne baissait pas le journal, peut-être était-elle trop intimidée par sa présence ? Il se rappelait avoir charmé quelques filles dans ce genre-là qui rougissait à rien et allait dès qu’elle en avait l’occasion se planquer dans les jupons de leur mère. Ce genre de femme n’était pas fait pour le matcho et arrogant Jayden Wendall, ce n’était beaucoup trop pas pour lui, mais celle-là l’intriguait beaucoup. À la limite, il pourrait peut-être réussir à la charmer et l’amener dans son lit pour ensuite ne plus lui adresser la parole. Il adorait faire cela, surtout lorsque la fille en question était trop timide pour dire le fond de sa pensée. Bref, il bougea la tête vers la gauche, puis vers la droite à deux reprises pour tenter d’apercevoir une partielle de son visage avant de lui sourire bêtement. « et bien, j’espère que tu t’amuseras dans le quartier, je peux savoir ton p’tit nom beauté ? » Oui, il avait prononcé ces quelques mots sans savoir comment elle était, mais bon, à la limite, il boosterait la confiance de cette femme et partirait en courant après, mais soudainement, l’inconnu déchira la couche qui séparait le contact entre les deux voisins et laissa entrevoir le visage de la belle Autumn qui était gravé depuis toujours dans le cœur de Jayden. Il fit de gros yeux aussitôt et ouvrit la bouche, abasourdie par cette découverte des plus intéressantes. « Putain de merde, Autumn Savannah en chair et en os, c’est pour ça que tu te cachais petite coquine et puis t’inquiète pas, le beauté était sincèrement véridique dans ton cas contrairement à la petite retardée que j’imaginais derrière les nouvelles de Fairview ! » Il se mit à rire.

Mais quelle sotte elle faisait tout de même…se cacher comme ça de son passée, faire comme si de rien était, allant même jusqu’à se cacher le visage pour ne pas se faire reconnaitre par son voisin qui, d’un jour à l’autre l’aurait aperçu soit par la fenêtre, soit dans l’embrassure de la porte de toute manière. Sincèrement, elle se sentait des plus démunies et stupides pour en ajouter une couche à son complexe. Contente de ne pas être à la hauteur de tes craintes Jayden… Dit-elle tout en replaçant une mèche derrière ses oreilles percées. J’crois pas avoir à te dire mon petit nom maintenant, sauf si la mémoire te fait défaut? Ajouta ensuite la belle brunette tout en souriant poliment, se doutant bien qu’il se souvenait de son nom tout entier, comment oublier de toute manière? En tout cas elle, elle se souvenait de chaque lettres que comportait son nom tout entier, malgré les essais innombrables pour les oublier.

La jeune femme leva la tête vers le ciel, fermant les yeux un quart de seconde, soupirant doucement pour finalement revenir à elle, regardant le brun qui avait été si longtemps son amour de jeunesse. Alors… Commença sans réel intérêt la brune. Qu’est-ce que tu deviens? Évidemment sa question était vague, elle n’avait pas trop envie de connaitre la réponse non plus, Jayden ne faisait plus tellement partie de son cœur maintenant, c’était éteint depuis fort longtemps entre eux deux et puis bon…avec lui elle s’attendait à une réponse des plus explicites, ce qui ne faisait pas toujours plaisir à entendre.

Revoir Autumn Savannah après tout ce temps fit un bond à son cœur. Il ne s’attendait tout simplement pas à voir la belle brunette débarquer dans le quartier après la mort de sa grand-mère pour hériter de la maison familiale. Sans oublier qu’elle connaissait le voisin bien précisément et devait se douter qu’il y était toujours – du moins ses parents – Cela faisait presque dix années qu’elle n’avait pas remise les pieds à Fairview selon ce qu’il sait. Peut-être aurait-il pu croire qu’elle avait tourné la page, mais ça ne semblait pas être réellement le cas. Autumn était toujours la même qu’autrefois et semblait selon son ton de voix toujours lui en vouloir pour ses erreurs passées. Wendall pourrait bien lui faire ses excuses ou lui expliquer ses raisons, mais il ne voulait pas. C’était si loin dans son esprit qu’il avait à peine la raison pour s’en souvenir. « Non, ne te trompe pas, je me souviens très bien de ton nom entier Autumn Keaya Savannah ! » Dit-il en ajoutant un clin d’œil pour mettre une touche de complicité à tout ça. L’homme se mit à sourire à la femme qui lui posa une question plutôt personnelle sur sa vie, ce qui démontrait qu’elle voulait en apprendre plus. « J’ai acheté la maison familiale, mes parents se sont fait construire une villa dans les Bahamas et je suis désormais chirurgien. Je suis à ma résidence, mais j’approuve du terme ! » Il sourit, fier de ce qu’il était devenu. « Toi, Feuille d’automne ! Tu es devenue quoi avec le temps dit-moi ? Enseignante ? Écrivaine ? Secrétaire ? » Dit-il en suggérant quelques aspects pour le plaisir.

Un mince sourire se forma sur le visage rosé de la jeune Autumn. Évidemment qu’il se souvenait de son nom, autant qu’elle se souvenait du sien…c’était plus qu’une évidence même. Elle repensa à toutes les bêtises qu’ils avaient pu faire tous les deux alors qu’ils étaient encore que des gamins…les mauvais tours aux petites voisines du quartier ou bien simplement au blagues sordides qu’ils inventaient à leurs parents …ou simplement aux nombreux moments de calmes où ils s’échangeaient des regards complices, exactement comme il venait de tenter. Kaeya elle, mordit sa lèvre inférieur, elle n’avait pas envie de rire à ses blagues idiotes… Photographe Se contenta de répondre la belle brune, se disant qu’à côté du jeune homme elle faisait franchement pitié à voir. Son boulot n’était pas des plus luxueux, mais au moins elle adorait l’exercer et puis de plus, il pouvait se mêler à n’importe quel événement ou loisir, ce qui lui permettait de décrocher de nombreux contrats, comme celui de prendre en cliché le voisin d’à côté en sous-vêtements…ça, ça lui remplissait une journée et surtout ça la faisait sourire. Contente que ça ait autant marché pour toi en tout cas… j’imagine que tu as une autre maison…ailleurs. Demanda alors la jeune Savannah, cherchant surtout à savoir s’il serait à la maison, là juste à côté d’elle, à tous les jours de sa misérable vie.

Jayden Michael Wendall n'arrivait toujours pas à croire que Autumn était de tour dans le quartier, surtout dans la maison de sa grand-mère. Sans qu'il ne sache vraiment pourquoi, la brunette avait quitté celle-ci l'été de leur 18 ans au plein milieu de l'été sans lui redonner la moindre nouvelle jusqu'à présent. Il était un peu intrigué par toute cette histoire, mais espérait que cette fois-ci, leur relation puisse aller dans un meilleur terme. Déjà en partant, il voyait bien que Autumn était mal à l'aise en sa compagnie, ce qu'il tentait de reprendre. En lui annonçant son emploi, Jay sourit poliment - chose qu'il ne faisait pas souvent - « Oh, c'est un chouette job, pas aussi bien payé que le mien, mais tu dois avoir du talent ! Je suppose que nos petites photos que tu prenais durant l'été à tout moment t'ont aidé à t'orienter ? » Dit-il en plaisantant, se remémorant le bon vieux temps. Le jeune généraliste comprenait que ce n'était pas très compréhensif d'agir ainsi avec Autumn, mais il tenait à lui reparler. Il ne l'avait pas revue depuis si longtemps aprés tout. Les deux n'étaient sans doute plus les mêmes qu'autrefois. La prochaine question surprit un peu Michael qui ne s'attendait pas à ça, mais bon, Autumn avait toujours été direct et ne tournait pas autour du pot lorsqu'elle parlait avec lui. Ce trait de sa personnalité n'avait toujours pas changé - mais Mike ne pouvait pas dire que ça lui déplaisait - L'homme sourit. « Ouais, ça marche d'enfer de mon côté, je suis dans ma résidence et ça avance ! Hâte de pouvoir porter l'uniforme de titulaire ! Sinon, mise à part la maison familiale que j'ai repris, je n'ai rien d'autre pour le moment. Je pense m'acheter une maison de vacances dans les Hamptons, proche de ta grosse pomme natale, mais maintenant que tu es ici, je ne peux plus faire le visiteur d'été comme tu le faisais à une époque ma belle ! Sinon, je peux savoir pourquoi tu as arrêté les visites saisonnières ? »

« Oh, c'est un chouette job, pas aussi bien payé que le mien, mais tu dois avoir du talent ! Je suppose que nos petites photos que tu prenais durant l'été à tout moment t'ont aidé à t'orienter ? » Autumn répéta une dizaine de fois la phrase dans sa tête, usant d’un ton plus méprisant à chaque fois, mais se retint pour ne pas lui dire en plein visage ce qu’elle en pensait vraiment, elle préféra donc hocher doucement la tête, souriant faussement. Leur relation était tellement parfaite, tous les ans elle était hâtive de le revoir, de courir dans les bois et de s’étendre au bord de la plage avec lui…dire qu’il avait gâché le tout en une seule et unique journée, plus jamais maintenant elle ne le regarderait avec attirance, c’était terminé et franchement, ça lui donnait mal au cœur. Prise de vertige lorsqu’il lui avouait vouloir s’acheter une maison secondaire dans les Hampton, pas très loin de sa ville natale, Autumn ne put s’empêcher d’ouvrir grands les yeux…elle souhaitait cependant qu’il y reste pour une durée indéterminée, alors qu’elle, emménageait dans la maison de sa grand-mère…apparemment voisine à la sienne, non pas celle de ses parents comme elle l’eu crue. Espérons que ce sera pour bientôt alors! Répliqua d’un énorme sourire la jeune photographe qui se pencha pour ramasser la moitié de journal qui s’était envolé un peu plus loin de ses pieds chaussés de gougounes. Bon et bien… Dit-elle, minant de chercher quelque chose à dire. [/b] J’ai des tas de trucs à faire…des boites à défaire, de la peinture à acheter alors… [/b] message subliminale pour lui dire qu’elle se devait de l’abandonner de ce pas, sans toutefois usé de méchanceté.

À la base, Jayden Michael Wendall avait tenté de séduire la jeune femme lorsqu’il avait compris qu’il s’agissait d’Autumn. Elle était la femme qu’il aimait depuis toujours et son retour dans le quartier lui remémorait un tas de sentiment. Oui, désormais, Jay était un coureur de jupon, mais de retrouver Autumn l’aiderait sans doute à changer – si elle souhaite lui reparler un jour – elle voyait dans son regard que tout n’allait pas. Savannah éprouvait quelque chose à son égard, mais rien de bien gentil selon ce qu’il comprenait. Elle n’avait pas quitté Fairview il y a plusieurs années pour ne plus jamais revenir pour rien. Michael aurait voulu continuer à discuter avec elle et en savoir plus à son sujet, mais elle le chassa aussitôt. « D’accord, je repasserais te voir un jour où tu ne seras pas occupé alors ! » Dit-il en souriant. « Autumn, ça m’a sérieusement fait plaisir de te revoir tu sais ! » Mike était gentil pour une fois. Habituellement, il usait toujours de sarcasme, d’humour douteux et de plaisanterie, mais contrairement à ses habituelles manies, avec Autumn, il se sentait nostalgique. Il lui fit un petit sourire et dit. « Alors, bye Pochantas ! » Et Wendall rebroussa chemin jusqu’à sa maison. Il entra et jeta un dernier coup d’œil vers la résidence Savannah.

TERMINÉ & VERROUILLÉ